Genève et Lausanne sont les villes les plus chères de Suisse
Selon un classement établis par le quotidien Blick, Lausanne et Genève seraient les villes de Suisse où le coût de la vie y est le plus important.
Selon Blick, les coûts fixes mensuels d’une famille avec deux enfants sont de :
– 3 954 francs suisses à Genève
– 3 611 francs suisses à Lausanne
– 3 353 francs suisses à Bâle
– 3 224 francs suisses à Zurich
Le journal a retenu les critères suivants pour établir son classement : impôts , loyer moyen pour un 4 pièce et demi, et coût de l’assurance maladie .
Renforcement de la lutte contre le blanchiment d’argent en Suisse
La loi va se durcir en Suisse pour les questions relatives à la lutte contre le blanchiment d’argent. En suivant les prérogatives du GAFI (Groupe d’action financière internationale), le Conseil des Etats a donné son aval pour un durcissement des lois.
En particulier, le devoir de diligence devra être systématiser (le devoir de diligence est le fait qu’un intermédiaire financier qui prend connaissance d’une opération suspecte doit le signaler aux autorités). Ainsi, l’intermédiaire devra donc être cité en cas de dénonciation, mais pas forcément l’employé qui en est à l’origine).
Bourses d’études en Suisse
Une récente étude l’OFS (Office fédéral de la Statistique) donne quelques chiffres sur les bourses en Suisse, et les conditions d’attribution.
Les cantons qui possèdent le taux de boursier le plus important sont les cantons : du Jura, des Grisons, du Valais, de Neuchâtel, de Bâle-ville.
Le montant moyen le plus élevé se trouvent dans les cantons : du Jura, des Grisons, de Bâle-ville, de Genève, du Tessin.
Consulter l’étude complète sur le site de l’OFS.
Une région transfrontalière qui bénéficie du plein emploi : nouvelle étude de l’observatoire statistique transfrontalier
L’Observatoire statistique transfrontalier fait, dans son étude, un état des lieux des travailleurs frontaliers de la région franco-valdo-genevoise, et de l’économie de la région.
L’emploi transfrontalier bénéficie de l’embellie économique de la Suisse, et de la zone valdo-genevoise en particulier.
A mi 2008, on dénombrait 52 000 frontaliers actifs dans le canton de Genève, et 16 000 dans le canton de Vaud. Comme c’était le cas auparavant, la majorité des travailleurs frontaliers français sont dans le canton de Genève.
La plus forte progression vient des travailleurs frontaliers de la vallée de l’Arve et d’Annecy. L’étude souligne aussi que presque toutes les communes de Haute-Savoie ont au moins un résident titulaire d’un permis de frontalier à Genève.
Les frontaliers viennent de plus en plus loin : l’étude indique que des travailleurs viennent de l’Ain (Oyonnax, Nantua, Culoz, Seyssel, Belley et Ambérieux). En Savoie, certaines personnes viennent même quotidiennement de Chambéry ou Aix-les-Bains.
Consulter l’étude complète sur les transfrontaliers .
