Ce ne sera pas faute de vous l’avoir répété : séparez complètement vos activités privées et professionnelles, de sorte qu’on ne puisse jamais faire le rapprochement entre un blog perso, un compte Facebook ou tout autre suport ou publication qui n’a rien à voir avec votre vie professionnelle.
Une employée de Bâle en a fait récemment les frais : retournée chez elle pour cause de migraine qui l’empêchait de travailler sur écran, son entreprise, la Nationale Suisse, a constaté pendant son absence qu’elle avait eu une activité sur Facebook pendant sa convalescence. Résultat : l’entreprise la licencie, au motif que si elle pouvait aller sur Facebook, elle pouvait aussi travailler.
Au-delà de l’aspect du droit qui reste à valider, cet exemple confirme qu’une fois encore, il est indispensable de bien séparer ses activités personnelles et privées. Pour ne pas subir ce genre de désagréments, restez anonymes sur Facebook (pas de nom ni de photo qui permette de vous identifier). Vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous l’avait pas dit…
Voir aussi notre article sur le blog de David Talerman : “Emploi en Suisse, maîtrisez votre NetRep sinon…”
Il est vrai qu’étaler a vie sur face de bouc n’est pas bien malain. Cependant des responsable d’entreprise qui vire quelqu’un pour ca, ils ont vraiment un grain. ET d’ailleurs comment ils ont fait pour savoir ce qu’elle avait fait sur facebook? eh ben ils y sont allé aussi…
Allez sur son ordinateur ou devant la étlé quand on est malade, n’y rien de bien excpetionnel…. Ceux qui devraient aller voir un medecin sont ceux qui l’on viré. Qu’elle ait un blame ok mais plus faut pas déconner.
Cette affaire reste discutable, surtout si la personne licenciée était de repos parce que ne pouvant pas travailler sur l’ordinateur du fait de cette migraine. Ce qui à la lecture des faits était bien le cas. Alors il ya probablement une faute quelque part de la part du travailleur. Cela dit, travailler et surfer sur facebook sont deux choses différentes même si le support (l’ordinateur) est le même. A mon avis c’est dans l’appréciation de la gravité de la faute, par l’examen des circonstances particulières (notamment le temps de connexion) que tout se joue.
Qu’en dira le juge s’il est saisi?
L’employée a déclaré avoir utilisé Facebook en utilisant son mobile… Sujet délicat, c’est certain. Et probablement discutable également.
Selon toute probabilité l’entreprise à de bon juriste et donc à choisi le juste motif de licenciement.
Vue que c’est l’employée elle même qui à donner le bâton pour ce faire battre. retournée chez elle pour cause de migraine qui l’empêchait de travailler sur écran
Inutile de préciser que cela tombe sous la loi informatique et liberté, unique recours qu’elle pourrait entreprendre
Moi je m’y étais inscrit mais une collègue aussi …manque de bol ma préférée justement …je lui ai envoyé une demande d’ami mais elle a eu honte de moi et moi j’ai eu honte de mon visage raté, publié sur facebook plus jamais ça… c’est une machine à complexer ce truc!!! juste pour les décalés!!!
Bonjour
Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi cette jeune femme a donné l’accès de son facebook à sa hiérarchie.
Nous savons bien que nous pouvons limiter l’accès sur facebook à certaines personnes et pas à d’autres.
Donc il faut être prudent certes, mais on peut aussi interdire l’accès de notre page facebook tout simplement.